Divisions Psychologiques et Besoin d'Espace Vital

Edwige: L'évolution dans un processus de fusion entraîne à lui seul d'énormes divisions... Le besoin d'autonomie dans le couple, en famille, au travail, entre amis etc. multiplie au centuple  cette division pour les besoins fondamentalement nécessaires à notre réalité et à notre identité.  


AVANT-PROPOS

 "Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" BdM PE-028

Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.

** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.


Bernard de Montréal avec François Payotte

Les divisions psychologiques (Extraits)

..."nous avons des preuves flagrantes que l'homme n'est pas totalement intégral. Donc si l’homme n'est pas intégral Il est divisé entre ce qui lui donne sa proportionnalité matérielle psychique et les autres aspects de lui, qu'il lui reste à découvrir au fur et à mesures qu'il prendra conscience d’une nouvelle science.

…"La source de nos conflits, de nos divisions, c'est la pensée aidée de notre émotivité.  La pensée de l'homme pure n'est pas divisible, ce ne sont pas vos pensées pures, intégrales qui vous divise.  Vos pensées pures viennent de votre source, mais c'est l'émotion dans vos pensées pures qui viennent de l’astral. Ce sont les pensées de l'homme émotivé qui sont le produit de la coloration de l’astral, et c'est là que joue le monde de la mort, et c'est ça que l'homme ne sait pas, c'est ça que l'homme ne comprend pas, c’est ça que l’homme devra comprendre un jour."

 

…"L’homme découvrira ce qu'est l'amour lorsqu’il aura découvert ce qui lui enlève l'amour, et il découvrira que ce qui lui enlève l’amour c’est l’astral, la mort. Si je pouvais concrétiser, montrer d'une façon concrète, jusqu'à quel point le monde de la mort est actif à travers la personnalité de l'homme, à travers ses pensées, et en utilisant ses émotions, ce serait le plus grand service que je pourrais rendre à l’homme. Tout est là… L’involution, la mort sur l'homme, l’évolution, fusion de l'homme avec sa lumière, tout est là.  Et les hommes devront le réaliser.  Que vous parliez de volonté, que vous parliez d'intelligence, que vous parliez d'amour, que vous parliez de ces trois principes de l'homme qui constituent sa sérénité, tout est là…  

 

…"Il y aura toujours dans l'homme de l’astral, jusqu'à temps que l'homme soit arrivé à un certain niveau de vibration ou sa lumière sera trop puissante, trop grande, pour que les forces puissent l’atteindre, et à ce moment-là l'homme sera libre. Il n'y a pas de volonté réelle, d'intelligence et d'amour dans la mort.  La moindre parcelle de volonté, d’amour, d'intelligence, vient de l'esprit, vient de la lumière de l'homme ; ça ne vient pas de la mort".

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L'espace vital (Extraits)

… "L’autonomie dans le couple n'existe pas encore. Un couple aujourd'hui qui est basé sur le principe de l'amour astral, l'amour humain, que nous connaissons, qui commencerait à taponner avec le concept de l'autonomie, donnerait naturellement, créerait naturellement, dans le couple une sorte de division, parce que l'homme ou la femme astralement connectés ne veulent pas que l'autre soit trop autonome.. Un homme qui vit le couple selon les modes de l'involution ne veut pas que sa femme soit trop autonome. Vous vous imaginez un homme qui est moindrement autoritaire, qui est moindrement macho, vous croyez que ce bonhomme-là va accepter que la bonne femme rentre à 3 heures du matin et qu’elle lui dise qu'elle est allée prendre un « gin & tonic » au Ritz Carlton…  Non... Et la même chose pour la femme, le bonhomme qui rentre puis qui dit moi je suis allé jouer au golf, trois heures du matin, hein...  Non… L’autonomie c'est un terme, comme tous les mots ce sont des termes qui ont une valeur psychologique, mais qui n'ont pas de valeur réelle.  De la même façon que le mot amour a une valeur psychologique mais il n'a pas de valeur réelle. 

 

…" ce sont des prétextes à division parce que les mots ne sont pas réels, le mot autonomie tombe dans la même batch de poubelles de mots, que tous les autres mots, amour, liberté, convivialité, conscience"…

… "La constitution d'un couple est parfaitement programmée".  

 

… "Et si l’homme va chercher dans le couple la parfaite intelligence, il déprogramme son couple, et il donne à son couple de la vitalité que l'homme de l'involution n’a jamais connue, de sorte que l'homme nouveau connaîtra le couple dans une conscience nouvelle, jamais basée, jamais fondée sur les mœurs de l’homme ancien"….  

 

… "La sexualité astralisée par le mental humain de l'involution a fait en sorte qu'il est devenu une mesure de la valeur du couple, et ceci est une illusion fondamentale à la construction du couple. Nous avons trop investi pendant l'involution dans la valeur de la sexualité, pour nous donner en tant qu'homme ou femme une certaine identité, ce n'est pas dans la sexualité que l'homme découvrira son identité, ce sera dans sa lumière".

 

... "l'homme aura besoin de beaucoup et de grande force mentale pour voir à travers l’illusion de la valeur de la sexualité dans la conscience d'un couple…. la valeur d’un couple doit être fondée sur la relation entre deux esprits, et non pas sur la relation entre deux vibrations personnalisées à travers des facteurs animiques".

 

… "La sexualité est la mémoire la plus difficile à défaire, parce que c’est la mémoire à laquelle on a donné le plus d'importance, parce qu’à travers elle on s’est donné sur la vie matérielle, dans la vie matérielle, l'impression que la vie vécue hautement dans la sexualité est une vie pleine, et ça c'est une illusion, et ce plein dure quelques secondes, quelques moments, et l’homme retourne dans la tristesse pour recommencer encore demain pour quelques moments et retourner ainsi à la tristesse". 

 

…"L'esprit est fondamental et nécessaire chez l'homme, c'est sa science, c’est sa conscience, c’est sa réalité, c’est son identité".  

 

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Commentaires: 47
  • #1

    Edwige (dimanche, 24 février 2019 09:17)

    Se sentir divisé est également "le chemin d'évolution", rompre avec cette division et la mémoire qui lui est associée signifie éradiquer les attachements astro-affectico-émotifs devenus anti-évolutifs. Sauf à regarder les choses "autrement" c'est-a-dire considérer toutes divisions et relations humaines comme outils de travail pour l'ego en évolution.

  • #2

    Edwige (lundi, 25 février 2019 09:05)

    Entre l'ego qui revendique son importance et le double sa légitimité à s'incarner la division de notre personne c'est l'énergie de l'esprit qui en fait son affaire… Les multiples tests et oppositions mettent en lumière nos capacités à endurer la volonté de l'ego et à supporter l'intelligence de l'esprit… La conscientisation et l'auto-observation nous aide à maîtriser les vertiges du grand huit des montagnes russe dans notre corps émotionnel. La lumière de l'énergie de l'esprit ne peut faire autrement que buriner l'ego dans ses failles les plus spiritualisées. La solitude que l'on ressent est prégnante et proportionnelle à notre individualisation qui prend sa place. Cette nouvelle autorité intérieure/extérieure est une clef majeure pour ancrer dans les semelles en marbre de nos souliers une centricité de plomb. Nous pouvons enfin dire "NON" et "STOP" au nom du respect que nous devons à nous-même ainsi qu'à l'autre, il n'y a pas d'issu pour d'autre alternative, aucune marche arrière n'est possible… On regarde son chemin et on sait que le sommet et là, bras tendu au bout des doigts.

  • #3

    Josianne (mardi, 26 février 2019 08:33)

    Le "hasard" m'a conduite ici je découvre une autre façon d'aborder les dilemmes et inconforts dans ma vie. Je comprends maintenant les raisons occultes de mes souffrances alors que je croyais tout posséder pour être heureuse et que ce n'est pas le cas. Merci pour votre beau site, si simple et si riche à la fois d'un véritable et inédit matériel d'évolution pour nous en France.

  • #4

    Edwige (mardi, 26 février 2019 08:49)

    Bonjour Josianne, il vient le temps pour tous de "débarquer" un jour ou l'autre sur sa propre planète, le hasard n'y étant pour rien, ce débarquement étant programmé en chacun de nous. Cette nouvelle planète est jonchée de défis personnel car, à par nous, il n'y a personne d'autre sur cet îlot de solitude... J'entend par là que "les autres" deviennent nos outils de travail à l'insu de notre plein gré... A nous de considérer tout ce qui nous arrive sur ce chemin avec un regard nouveau, des lâchers prises importants, des ouvertures de conscience "réelles" sans dichotomies paroles/actions et des basculements de croyances erronées. Bienvenue ici quand vous serez prête à l'échange car "on peut pas être intelligent tout seul"...

  • #5

    Edwige (mardi, 26 février 2019 10:02)

    Intuition et discernement sont les deux mamelles d'une conscience au-delà du mental inférieur. Sans ces deux attributs on ne peut sortir des pièges incessants du service de la mémoire, tendus pour les besoins évolutifs, qu'ils viennent des plans cosmiques ou de l'esprit qui nous teste. La mutation n'est pas seulement psychique elle est concomitante au corps physique qui, sous bien des aspects, souffre également en même temps qu'on le délaisse ou qu'on croit s'en occuper au mieux… La sensibilité à fleur de peau accroit notre intuition et notre discernement pour nous montrer les dichotomies paroles/actes et les fourvoiements dans lesquels nous tombons régulièrement. Les mensonges en nous-même, entretenus pour notre survivance, nous deviennent intolérables lorsqu'ils sont dévoilés par l'esprit... Auparavant nous nous cramponnions à nos béquilles spiri-tue-elles (aspire à la tuer) et parfois à des egos bien surdimensionnés façonnant talentueusement nos polarités beau/laid, bien/mal… On ne peut se jeter la pierre pour s'en être remis naïvement aux satisfactions des petits besoins de l'époque et aux besoins encore plus grands de l'esprit et de notre double en construction… Ceci arrive à terme pour nous faire chavirer, comme un bateau dans la tourmente, parce que seul un choc brutal peut nous sortir du sommeil et de l'inertie". L'être humain n'en reste pas moins une marionnette expérimentale qui tend à la perfection dans la fusion de l'énergie de ses expériences, emmagasinées dans le sac mémoriel de l'âme, et de l'énergie de son esprit pour l'incarnation du double de son ego qui aura lui-même fusionné avec ses trois cerveaux et son cerveau éthérique pour devenir lumineux et exempt de mémoire. Pour en arriver là il en faudra des éons de siècles mais à ce stade ce double personnalisé cherchera encore plus d'évolution car il semblerait qu'il n'y a pas de fin aux cycles en mutations perpétuelles … Conclusion conscientisons chaque instant présent sans se soucier de demain...

  • #6

    Josée (mercredi, 27 février 2019 04:10)

    Le double ou ajusteur de pensée fignole inlassablement une épreuve après l'autre, soit surrur un plan soit sur un autre. Il en ressort de la conscience. Au début, cette conscience est ténue, et l'inconscience que regarde cette conscience est presqu'intacte encore. Plus ça va plus on a une grande conscience pour regarder une petite inconscience. Le processus suit donc une pente exponentielle. La courbe n'est pas régulière, ne serait-ce que parce que l'écran mental persiste à interpréter les choses et à substituer sa perception à la réalité du processus. Par exemple on croit ne pas avancer quand on avance, et vice versa.

  • #7

    Edwige (vendredi, 01 mars 2019 11:38)

    L'ajusteur de pensée, notre ego lumineux (double sans mémoire) utilise l'énergie de l'esprit pour conscientiser notre ego matériel en apprentissage sur cette planète. Cet ego vit des expériences qui façonnent ses différentes personnalités pour un jour, délesté de ses mémoires, se matérialise dans la totalité énergétique de ces expériences. Ce processus est ascendant, jamais linéaire, plutôt en dents de scie... Il permet au taux vibratoire du corps matériel d'être ajusté aux futures conditions existentielles du double. Croire ne pas avancer quand on avance et vice versa est encore une polarisation subjective enfouie dans le sac mémoriel, une fois "ferré" dans le processus fusionnel on avance obligatoirement à l'insu de notre plein gré...

  • #8

    Josée (dimanche, 03 mars 2019 03:12)

    Et vu qu'on a les outils, on ne craint plus la vie comme avant.

  • #9

    josée la haye (mardi, 05 mars 2019 15:10)

    tant qu'on ôte pas toute importance aux insupportables divisions psychologiques, on vit l'insupportable ascenseur émotionnel. la sensibilité est l'outil de haute perceptivité, le microscope de l'ampleur de l'erreur astrale. plus on est par elle empêché de s'entourer de mécanismes-tampon, plus on mise sur le seul cheval : la très drastique désastralisation de ce qui se passe dans la tête. ce qui se passe dans la tête est ce que dans la mythologie spirituelle on appelait la tentation de satan. en fait il s'agit de la provocation divine. comme l'entraîneur cherchant à améliorer les réflexes de son client, le vaste appareil sidéral derrière ce chapelet de tests cherche à réveiller dans l'homme toute la créativité de son intelligence. celle-ci est endormie pour des raisons de développement des corps de l'homme mais pour chacun de nous il y a une heure où ces jeux sont démasqués et déjoués par la très drastique désastralisation de ce qui se passe dans la tête.

  • #10

    Edwige (mercredi, 06 mars 2019 08:26)

    Minimiser l'importance des inconfortables divisions psychologiques et du yoyo de l'ascenseur émotionnel reviendrait à nier la lumière de l'énergie de l'esprit qui travaille à ajuster nos corps subtils. Plus facile à dire qu'à vivre... mais vivre dans "l'instant présent" nous oblige à objectiver l'évènement dans son contexte. En fait on comprend le test après coup mais c'est trop tard il aurait fallu le comprendre "sur le coup"… Et de test en test ce que nous devons "mémoriser" c'est comprendre (désastraliser) sur le champs ce qui se passe au lieu de laisser notre subjectivité supputer tout et n'importe quoi…

  • #11

    josée (mercredi, 06 mars 2019 22:42)

    À mesure qu'on acquiert de la clarté d'esprit, la désastralisation résiduelle ne peut que devenir de plus en plus naturelle. Un beau matin, il ne reste dans la matière multidimensionnelle de l’homme presque plus d'inconscience émotivo-mémorielle à déloger. Simultanément, dans l’éther de l’homme, il ne reste presque plus d’étape de construction à assumer. Tout va alors très vite. La conscience est devenue l'outil de la grande connectivité. On est rendu connecté aux circuits universels et à la mémoire universelle. À l’aide de cette nouvelle mémoire, la mentation devient parfaitement consciente parce que la réaction de se désastraliser est intégralement mémorisée.
    Comme la programmation karmique vécue auparavant, comme la programmation de l'initiation solaire vécue actuellement, le savoir, ou mémoire universelle, se présentera sous la forme d'une programmation. Au niveau du sentiment de liberté par contre, cette programmation future diffèrera des autres à un point inimaginable.
    L’homme se sentira libre dans sa programmation. Pourquoi. Parce qu’en se connectant à de la mémoire universelle, l'homme deviendra un familier de l’intelligence, de la volonté et de l’amour. En honorant de façon identique les trois piliers de l’univers, il sera installé dans sa centricité. Une telle position mentale fera de sa mentation une canalisation fixée sur son centre de gravité, son centre de puissance, son centre d’autorité. Quelle liberté ne sentira-t-il pas à l’intérieur de sa programmation.
    Intelligence
    En partant, parce qu’elle sera centrée, la mentation de l'homme résonnera intégralement avec sa programmation. Il vivra ce qu’il devra vivre mais il en profitera un peu comme on profite de la nature actuellement, dans la résonnance. Sa programmation sera ainsi extraordinairement simple à embrasser mentalement. Il profitera ‘’à pleins poumons’’ de son intelligence qui será l’oxygène de son nouveau corps. Intégralité mentale, zéro lacune de compréhension, intégrité mentale toute en cohérence interne et avec les circuits du savoir. Son intelligence de ce qu’il vivra par programmation sera sans limites. Qui dit mieux. Surtout qu’en même temps, il jouira de la sensation que son intelligence est parfaitement individuée.
    Volonté
    De plus, parce qu’elle sera focalisée avec le beau milieu de l'homme, la mentation de cette programmation correspondra à ses besoins individués de dépense énergétique. La programmation de l’homme deviendra jouissive en termes de facilité. L'homme ne se sentira plus dans aucun assujettissement spirituel. Il sera un avec la source de sa nouvelle mémoire et de sa nouvelle programmation. L'homme se comprendra lui-même intégralement et voudra et saura puiser de l’énergie. Programmation et volonté coïncideront plus qu’il ne m’est possible de l’imaginer.
    Amour
    Enfin, à travers cette programmation, l'homme se sentira capable de se mettre en équilibre avec l’univers encoré et encore. Il sera en amour avec toutes les formes de la création, aussi hideuses qu’elles puissent se présenter. En tête à tête avec l’astral, il aura le réflexe de se désastraliser et de puiser dans l’amour universel. C’est parce que l'homme sera devenu capable de se ressentir avec acuité et donc de se respecter sans ambiguïté aucun, qu’il pourra relever les défis surhumains amenés par sa programmation autant sur le plan de la civilisation que sur celui des mondes parasitaires. Car il vivra sa programmation dans le cadre de l'accomplissement de missions auprès de la planète et de l'humanité. L'intégration de sa mémoire karmique orientera sa sphère d'action. Sa programmation combinera, étape par étape, l'intégration de sa mémoire karmique avec les forces en présence au fil du temps.
    En somme, l'homme fusionné avec la source unique de l’univers, vivra sa programmation sous la forme d'un apprentissage amoureux, volontaire et intelligent des lois universelles du mental et de la matière.



  • #12

    Josée (jeudi, 07 mars 2019 15:03)

    Le bien et le mal, ça ça va être une manipulation à démasquer. Comment veux-tu croire au bien et au mal quand tu veux régler des problèmes parasitaires sur les autres plans. L'engeance des shères spirituelles n'a pas fini de nous mener en bateau pour que notre spiritualité les gardent à flot.

  • #13

    Edwige (samedi, 09 mars 2019 16:01)

    Si l'homme est totalement fusionné avec la source unique de l’univers, il n'aura plus de programmation mais que des apprentissages de l'utilisation de la matière grâce à la matérialisation de sa pensée. A ce stade il y aura encore de la polarité selon le contenu de ses différentes personnalités contre celles des divers autres doubles fusionnés… a cause en effet des problèmes parasitaires sur les autres plans qui n'auront pas disparu d'un seul coup….

  • #14

    josée (mardi, 12 mars 2019 01:29)

    quand on n'aura plus l'engeance spirituelle sur le dos, les problèmes parasitaires sur les autres plans n'auront pas disparu pour autant d'un seul coup, no way joselito !
    aucun parasitisme ne disparaîtra sans que ce ne soit par le fil du puissant glaive de l'homme du futur, ce dernier des derniers devenu le premier. rêvons

  • #15

    Edwige (mardi, 12 mars 2019 12:07)

    Il semblerait que nous sommes incapables de regarder l'atome avec le microscope et de s'intéresser en m^me temps à l'astral avec l'esprit... Nous ne nous sommes jamais "su" comme un être "multidimensionnel" pour d'abord nous voir comme être "unidimensionnel" afin de développer la science et nous concentrer sur la matière... demain nous irons plus loin c'est notre lot évolutif et c'est en devenir...

  • #16

    josée (jeudi, 14 mars 2019 01:38)

    les inventions scientifiques sont distillés par des forces spirituelles d'origines diverses. tout ça c'est nécessaire à la complétion du tableau artificiel qu'est l'involution où les âmes ont pu et su engranger une richesse expérimentale époustouflante mais si, on la compare au plan mental ascensionnel, la richesse expérimentale de l'involution avec son progrès scientifique, c'est niveau petit budget. (surtout que le budget sortait de notre poche !)

  • #17

    josée la haye (samedi, 16 mars 2019 21:10)

    je regarde le titre de l'article et je regarde plus particulierement la 1re partie :"division psychologique". il y en a deux sortes. la sorte où on est rendu dessus à cause de l'événementiel et la sorte où on n'est pas rendu dessus mais où on a la division psychologique en question comme composante de notre pensée. c'est là où on voit l'importance de l'événementiel. quand de l'événementiel est là, toutes nos dimensions se pointent sur appel et qu'est-ce qui reste de la division psycholigique ? elle s'est dissoute dans le vent du feu de l'événementiel. si les poumons ont saigné c'est qu'ils n'avaient pas le choix. la sensibilité est responsable de ce qu'on fasse face et qu'on optimise la gestion de l'événementiel. les divisions sont les grands perdants et sans regret de notre part bien sûr. que de savoir les remplace !

  • #18

    josée (dimanche, 17 mars 2019 17:39)

    ce qui est décrit au no 17, c'est un moment de corrida où l'homme prend le taureau par les cornes, ce n'est pas inclusif des autres approches qui sont possibles pour l'homme et qui sont aussi bonnes. le jeu entre le double et l'ego est interactif et il y a autant d'approches que de tests. s'en tenir à une approche c'est suspendre les progrès de l'interaction. au début de la conscience, on s'accroche à de la théorie et parce qu'on découvre la richesse du mental, on croit encore plus en l'efficacité de la théorie. c'est encore une fois la sensibilité qui va amener l'homme a mettre la hache là-dedans, quand il n'aura plus autant de marge de manoeuvre à errer intellectuellement entre ses théories et qu'il apprendra à délaisser cette mémoire là aussi... tout est graduel dans le processus de la fusion avec son double.

  • #19

    Edwige (lundi, 18 mars 2019 08:55)

    Dans la période involutive de l'humanité les âmes, conçues pour vivre par procuration de la source des sources, ont emmagasiné de l'expérience dépolluées de toutes polarités pour, in fine, stocker l'énergie colossale de chacune de ces expériences. Les progrès scientifiques ont participé à la richesse expérimentale de l'âme dans la matière, ils participaient également aux progrès du plan de conscience qui, en arrière-plan, se développait de façon exponentielle dans l'ego en évolution.
    Dans le processus de la fusion avec son double, qui ne peut être que progressif à cause de des corps physiques et subtils qui succomberaient à une entrée brutale de sa lumière, les divisions sont inéluctables. Elles nous divisent par le choc frontal des pensées rarement objectives et de nos corps subtils notamment le corps émotionnel. Les évènements, déguisés en tests de l'esprit pour l'ego, nous ont obligé à déployer toute la puissance de son intelligence et de sa volonté, ce que tu appelles "corrida"… on peut y voir aussi un jeu d'échec gigantesque entre le double et l'ego, ou une partie de poker ou tout autre jeu "qui perd gagne"…
    On entre en "conscience" d'abord par l'expérience, puis par la vibration intégrale de cette expérience, ensuite par l'énergie de cette expérience intégrée qui nous entraine inéluctablement vers la théorisation, nos 3 cerveaux (rationnel, intuitif, émotionnel) ont besoin de fonctionner ensemble car l'ego en évoluant ne veux plus gober tout cru et spirituellement ce qui vient de l'extérieur… Sa sensibilité va le conduire au discernement pour mettre la hache dans tout ce qui ne résonne plus, ni ne vibre plus en lui… il aura enfin nettoyé sa mémoire…

  • #20

    josée (dimanche, 24 mars 2019 02:22)

    Ah si on avait un visuel de ce qui résonne encore d'illusions fermes en nous. C'est là à noua agiter comme des marionettes et on n´a pas cette lecture, pas encore, parce que seuls les prochains chapitres de notre processus de fusion pourront ébranler ce qui va sortir prochainement de la boite de pandore, bouts de ressorts rouillés qui furent nos ressorts. on a de moins en moins de ressorts dansns le robot, comme si la main dans la mationnette perdait sa consistance qui était tenue par notre foi en elle.
    je suis optimiste comme tu vois. je suis également effrayée par l´avenir qui nous fera regarder satan dans les yeux mais je suis surtout hyperconfiante dans mon processus de fusion.je remarque qu´une différence entre nous est que tu détestes parfois ton double alors que ma relation de fond avec mon double est béate d´admiration. je l´adore. mais je suis sur mes gardes car j´en connais qui en adorant leur copain le double ont versé dans une naiveté spirituelle très enveloppante qui les a avalés comme du sable mouvant

  • #21

    Edwige (dimanche, 24 mars 2019 09:01)

    Intéressante ta remarque sur nos différences relationnelle face au double dans ce processus… Peut-ton et/ou doit-on aimer ou détester son double ? A vrai dire tu me prête (ou tu projettes) des attentions ou des sentiments pour mon double qui n'ont jamais attiré mon attention… ou que je ne veux pas voir ???
    Contrairement à toi ma relation de fond n'est ni béate d'admiration, ni empreinte d'adoration ou sentiments divers car justement l'aspect spirituel qui se dégage est révulsant pour mes sens. Tout au plus il m'arrive de lui sourire ou faire une grimace en réponse d'un signe que je "crois" percevoir de lui… Mais jamais sans la méfiance de me faire tromper par des illusions ou des mirages dans les sables de ce désertique chemin d'évolution… Pour ma part ce serait plutôt dans les précipices des montagnes…
    Se sentir "habitée" parfois serait un mot plus adapté à un ressenti, comme quand j'étais enceinte… La fusion ou "dé-fusion" lors de l'accouchement du double serait la "délivrance" de ce double… un sujet à exploiter merci José de l'avoir mis sur la table!

  • #22

    josé (dimanche, 24 mars 2019 23:12)

    je me suis pourtant toujours méfié d'un développement de relation au double. mais j'ai raté mon coup ; j;en ai une, de relation, une image de relation. pour clarifier ce que je veux dire par adoration, je me sens comme le boxeur en amour avec son vieil entraîneur encore en forme et pas peureux de me péter la fiole pour m'aguerrir. il me péte la fiole mais je le trouve génial de créativité et il a droit à tout mon argent. je ne peux pas imaginer trouver meilleur que lui et ce que j'apprends avec lui.
    j'ai aussi une autre image que je déterre un peu du cimetière des idées mortes depuis quelque temps. c'est l'idée que la relation homme double est une symbiose, c'est à dire une association pour l'éternité. le lichen est une plante qui est une association. il est composé de deux plantes ; d'une algue microscopique et d'un champignon microscopique. cette plante était commune autour de chez moi dans les années 80 quand j'écoutais bernard au début et qu'il disait alors "le double, c'est l'homme", et elle symbolisait pour moi la symbiose qu'est l'homme. l'àme planétaire a toujours pu vivre gräce à son rayon cosmique, il y a association. de plus j'aiamsi le lichen pour son âge. il parait que ce fut le premier être multicellulaie qui a colonisé le sol terrestre.

  • #23

    Josée (jeudi, 28 mars 2019 03:04)

    Finie la solitude avec ce double qui nous "habite" comme tu dis, c'est ce qui s'annonce. En attendant, de mon côté c'est moitié ça et moitié autre chose fait de régressions, vidangeages, etc. Je vis surtout une dépossession de moi-même qui me dédouble en un moi lucide et un moi en régression. C'est plus instructif que régressif. C'est lié au retour sur pied de ma mère après 2 mois d'agonie catatonique qui me terrorisait un peu quelque part. Et vu qu'il faut tout crier, répéter et préciser, ya pas moyen de me leurrer sur la moindre de mes attitudes. Des fois je me demande où est l'amour là dedans quand je vois à quel point tout le monde est le cobaye de tout le monde. Je m'active psychiquement plus qu'avant mais ce point n'a pas changé.

  • #24

    Edwige (jeudi, 28 mars 2019 09:07)

    Je pencherai pour un double en tant qu'émanation d'un Alter ego inséparable de son ego mal dégrossi, un double coadjuteur dans son gouvernement interne, un fondé de pouvoir dans l'attente d'un partenaire "parfait", éligible à la fusion et à l'incarnation d'un double devenu lumineux…
    Aimer sa solitude tout en se sachant habité, vous fait sentir l'urgence de comprendre que l'Amour ne peut s'exprimer que dans le respect de soi et de l'autre. Nos conditionnements affectifs-émotionnels nous ont lourdement trompés sur la signification du mot AMOUR et a cet amour-là je ferme la porte, il est trop chargé de désamour…

  • #25

    Josée (samedi, 30 mars 2019 02:42)

    S'aimer assez -ou plutôt comme tu dis, se respecter assez- pour ne pas se désolidariser de soi dans son besoin de ne plus aider l'autre, ah c'est bon de se payer ça.
    Que veut dire coadjuteur?
    Sans le double, pas d'homme. Le double sert à amener l'homme jusqu'au processus de démagnétisation de la mémoire, puis, à travailler avec lui pour le faire ouvrir sa connexion très privilégiée avec la source, latente dans le noyau de sa mémoire et pour ainsi dialoguer entre rayons, intensifier l'échange et s'unir comme deux frères étrangers. Voilà ce vers quoi je penche ce soir. On verra ce qu'on aura à dire demain.

  • #26

    Edwige (mercredi, 03 avril 2019 01:55)

    Se respecter assez pour ne plus culpabiliser dans son besoin de ne plus vouloir aider l'autre, oui c'est excellent et nouveau de pouvoir se payer ça!!!…

    Le coadjuteur c'est l'adjoint, le suppléant de l'ego qui accompagne incognito le double dans le processus de désastralisation de la mémoire et sa fusion avec l'énergie de l'esprit

  • #27

    josée (mercredi, 11 septembre 2019 17:48)

    Le coadjuteur, l'adjoint, le suppléant de l'ego qui accompagne incognito le double dans le processus de désastralisation de la mémoire et sa fusion avec l'énergie de l'esprit, c'est ce dont parle bernard dans sa communication solo intitulée la seconde présence. identifier cette instance caricaturale, menteuse, manipulatrice, provocatrice, etc., etc., c'est admettre que toute la psyché n'est que couches d'astral - sur fond de lumière bien sûr.

  • #28

    Edwige (samedi, 14 septembre 2019 14:26)

    La seconde présence est "la lumière" de l'énergie de l'esprit (étincelle de la source, de même nature que celle de l'âme) à ne pas confondre avec l'esprit lui-même qui est une énergie en évolution, comme l'ego, il correspond au niveau d'évolution de l'ego et de l'âme différent pour chacun.

    L'esprit ou coadjudeur peut en effet être caricatural, menteur, manipulateur, provocateur, il peut utiliser les subterfuges de l''astral (tests) pour les besoins évolutifs de l'ego qui dépend de lui.

  • #29

    josee (samedi, 14 septembre 2019 14:46)

    aidants, charitables, pris de pitié face aux épreuves des proches, on était agités comme des marionettes…
    maintenant on se sent comme moins agités de désir ou besoin d'aider, comme si la main dans la marionnette perdait sa consistance.
    justement, en quoi "consistait" la main dans la marionnette ? pour ma part, j'ai été avalée dans cette naiveté spirituelle, dans ce théâtre de marionettes très enveloppant et la main qui me manipulait "consistait" en ma peur de regarder satan dans les yeux.
    la main qui me manipule c'est ma très très vieille capacité à être polarisée.
    la polarisation est à la source de tous les désamours. seule la neutralté résulte en respect. longtemps dénoncée, déjouée, dénouée, la polarisation perd de son pouvoir manipulateur.

  • #30

    josée (samedi, 14 septembre 2019 14:51)

    tu écris au no 21 :
    "Contrairement à toi ma relation de fond n'est ni béate d'admiration, ni empreinte d'adoration ou sentiments divers car justement l'aspect spirituel qui se dégage est révulsant pour mes sens. Tout au plus il m'arrive de lui sourire ou faire une grimace en réponse d'un signe que je "crois" percevoir de lui… Mais jamais sans la méfiance de me faire tromper par des illusions ou des mirages dans les sables de ce désertique chemin d'évolution… un sujet à exploiter merci José de l'avoir mis sur la table! "
    alors, ce sujet que je trouve intéressant moi aussi, je suis contente de te voir le remettre sur la table.
    je suis surprise de trouver confortable le concept de coadjuteur que tu mets sur la table, de ne pas le trouver encombrant - au contraire.

  • #31

    josée (samedi, 14 septembre 2019 15:42)

    je ne disais pas que le coadjuteur n'est pas encombrant ! car on s'entend que le coadjuteur en tant que condition psychique EST l'encombrement incarné.

    je parlais du concept qui n'est pas encombrant, d'accord, la cour déjà est pleine de concepts… mais, quand on se sait aux prises avec une condition psychique, il est pertinent de l'identifier.

  • #32

    Edwige (mercredi, 18 septembre 2019 11:01)


    Les marionnettistes du grand astral usent et abusent des cordes prédatrices arrimées au "sac mémoriel" ou cerveau reptilien dont le contenu est blindé de peurs diverses et variées. Ce cerveau reptilien est la tanière du Satan Luciférien aux yeux dorés, summum de la polarisation et du non-amour par réverbération…

    Rompre ces cordes manipulatrices tient de l'exploit héroïque fait de mini exploits au quotidien, avec l'aide de notre coadjuteur qui désencombre notre psychisme manipulé par le haut et par le bas...

  • #33

    josee (vendredi, 20 septembre 2019 21:47)

    depuis que j'ai vu Spartacus (vieux film avec kirk douglas dans le rôle titre) j'imagine parfois la marche de ces esclaves qui ont existé et qui ont traversé l'italie, coin le plus dense de l'empire romain, dans une détermination parfaite à devenir des hommes libres qui les ont fait braver des milliers de situations apparemment sans issue.

  • #34

    Edwige (samedi, 21 septembre 2019 11:32)

    Visionner des films ou des reportages sur l'histoire de l'humanité, avec toute la distance et la neutralité émotionnelle possible et nécessaire, nous permet de nous rappeler d'où on vient dans cette période involutive et où on va depuis la descente de la vibration supra-mentale…

  • #35

    josee (samedi, 21 septembre 2019 15:06)

    les vieux films - fiction ou documentaire - qui ont été faits sans esprit critique nous beurrent la face d'images d'asujettissements qui ont eu cours depuis 100 ans. ce qui m'appartient karmiquement là-dedans vient me chercher et parfois même me libérer rétroactivement.

    l'homme karmique fut assujetti tout azimut à l'exception de petites effusions de libres penseurs à l'ego particulier. la liberté fut un mot important pour la science, la presse, la philosophie, l'équité entre les races, les castes, les allégeances, etc., et surtout pour l'émancipation de la femme dans les couples et les communautés, émancipation qui passa par l'appropriation du corps dans toutes ces fonctions de service qui sont prises pour acquis. ça nous a inculqué la notion de liberté. à nous de nous y atteler désormais en continu et face à l'absolu.

  • #36

    Edwige (mercredi, 25 septembre 2019 07:42)

    Revisiter notre histoire, que ce soit en tant que femme (ou homme) nous donne la mesure d'un retour en arrière impossible dans ces vieux karmas libérés par leur remontées en surface.

    IMPOSSIBLE désormais de se laisser violer, torturer, malmener physiquement et psychiquement. On ne peut que mordre à pleine dent, sans lâcher prise, sur la liberté de la conscience acquise et le droit à l'utilisation du corps physique et tous les attributs qui lui sont associés.

  • #37

    josee (jeudi, 26 septembre 2019 15:41)

    le discernement vibratoire lors d'un échange donne la liberté de discerner vibratoirement la subtilité des variations de l'échange. l'inconscience par contre est toujours traduite par des attitudes relationnelles, que celles-ci soient des attitudes complaisantes, soumises, enragées toute écoutille fermée, accrochées aux rideaux, ou emballées par un désir d'émancipation contreproductif.

  • #38

    josee (mardi, 01 octobre 2019 09:48)

    il n'y a ni tactique à court terme ni stratégie à long terme dans la gestion d'une dispute, juste du respect, et le respect est une aventure au pays inconnu, une aventure solitaire mais tellement verticale que l'autre y prend sa propre verticalité. il faut pour cela une ouverture intégrale à tous les détours, à toutes les séquences de rythmes, il faut les reins pour asseoir une certaine conscience visionnaire. l'autre fait éclater sa bidimensionnalité et révèle un peu d'inédit, un peu d'air frais. ce qui était asphyxiant devient dépaysant.

  • #39

    Edwige (mercredi, 02 octobre 2019 13:40)

    Les variations dans l'échange sont des échanges en évolutions.

    Discerner cette évolution nous fait voir notre inconscience d'antan qui se traduisait par "des attitudes relationnelles, complaisantes, soumises, enragées ou emballées" par des comportements du caractère ou tempérament de l'ego encore susceptible parce qu'encore orgueilleux et narcissique.

    Se disputer avec quelqu'un tout en lui montrant du respect est un art en apprentissage car on ne peut sans cesse confondre l'ego astralisé et détestable d'une personne et son esprit qui est à la mesure de son ego …

    L'ouverture "intégrale qui amène cette "conscience visionnaire" est sous tendue par l'intégration réelle d'une neutralité mentale et d'une anémotivité réactionnelle. L'air frais qui nous sort l'asphyxie devient dépaysant dans la mesure ou de terrain miné on avance a grand pas dans un terrain conquis.

  • #40

    josee (samedi, 05 octobre 2019 03:01)

    il arrive un moment où on gagne en discernement du taux vibratoire de l'autre ce qu'on perd en naïveté accommodante.

    bing boum bang, le terrain d'entente spirituelle a soudain fait place à un terrain miné.

    beaucoup de ces "mines" sont dues à notre irritation à nous voir perdre notre contenance.

    il y a deux illusions là-dedans :
    1- nous responsabilisons l'autre du fait qu'on perd contenance.
    2- nous jugeons le fait de perdre contenance comme étant mal.

    on tombe dans toute sorte d'associations mentales à effet émotionnalisant :
    on en veut à l'autre de son taux vibratoire offusquant.
    on en veut à l'autre qu'il nous enrage.
    on lui en veut qu'il ne retienne pas les leçons qu'on lui a faites la veille,
    qu'il récidive,
    qu'il déçoive
    et que, par sa stagnation, il nous inquiète sur l'avenir de la relation.

    on se sait initié à l'anémotivité (ne lutte-t-on pas jour et nuit à éteindre la moindre nuance émotionnelle dans notre pensée !) et voilà que, face à l'autre, on en est réduit à être au contraire un agent émotionnel : ça ne peut être autre chose que sa faute.

    s'abandonner à ces associations mentales et évacuer la charge émotionnelle est suscite fait honte à quiconque a reçu une formation morale.

    mais qu'en est-il réellement ?

    le développement du respect correspond à celui de notre taux vibratoire et ce dernier est un processus où ce développement de notre taux vibratoire alterne avec du vidangeage émotionnel.

    une fois rendu plus scientifique et observateur du processus, on ne s'émotive plus d'être émotionnel.

    c'est une attente qui tombe.
    on lâche prise d'un contrôle d'image de soi qui avait lieu pour notre regard.
    le respect c'est ça aussi : subir sa propre vibration sans la juger.

    tout jugement est un assujettissement à la mémoire des édits moraux qui toujours furent injectés dans l'humanité pour la garder sous tutelle des sphères spirituelles en charge du projet humain.

    l'important n'est pas de faire le bien mais de toujours opter pour le moyen d'être bien dans sa propre peau.

    l'autre y gagne.

  • #41

    Edwige (dimanche, 06 octobre 2019 11:05)

    Lorsqu'on approche de sa maturité éthérique (contact avec son double) le désir de vouloir que l'autre conscientise son ego en même temps que nous s'estompe progressivement. Nous n'avons plus ni besoin ni désir que l'autre change ou soit autrement que lui-même puisqu'on a compris qu'on n'est pas responsable de sa programmation.

    Si les liens karmiques qui nous lient à lui/elle sont étudiés occultement dans le sens évolutif à "bénéfices mutuels" on comprend doublement que nous ne sommes l'un pour l'autre que des instruments qui participent à notre évolution de gré ou de force… Le discernement met le doigt sur ce qui devient un outil de transformation de l'ego au lieu d'être un outil de conflit dans l'écart supposé de conscience…

    L'autre participe à la progression de notre processus tandis que nous participons au dégraissement du sien… Ce fameux terrain miné qui fait exploser tous les embrigadements spirituels de la marmite du diable amour salement astralisé, alors qu'on croyait à l'amour merveilleux et éternel, tandis que nous participions à une vaste reproduction de l'espèce pour l'incarnation des futures âmes en évolution…

    L'autre est le reflet exact de ce que notre ego a à travailler, alors on peut cesser tranquilement d'avoir des illusions sur nos attitudes, comportements, caractère, tempérament puisqu'ils sont multifactoriels, dépendants de ce qui a déjà été ou non travaillé dans d'autres incarnations, dépendants de notre programmation, dépendants de l'heure, du jour, de l'année, du lieu de naissance et des parents choisis pour cette expérience d'âme…

    Peu importe de se laisser embourber dans des jugements sous formes astralisées
    d'associations mentales que l'on trouve "mal" par orgueil et par mauvais conditionnement spirituels… même si c'est à bon droit de se mettre en colère pour un tas de raisons subjectives et bien réelles à la fois, car la stagnation de l'autre dans des schémas infantiles génèrent doutes et inquiétudes, au lieu d'entrainement à l'habileté à manier des outils qu'a son insu nous utilisons pour nous même dans notre évolution, ex entraînement a l'anémotivité réactionnelle… Dans la réalité occulte la relation de couple "ça passe" dans la conscience intelligente ou "ça casse" dans l'inconscience infantile…

    L'élévation du taux vibratoire de nos corps subtils aiguise le discernement face à tout ce qui nous impacte vibratoirement. Le videngeage des énergies usées est une pompe mécanique automatisée qui nous fait garder l'équilibre dans ce processus de conscientisation très éprouvant pour les deux parties, même si l'on croit naïvement que nous évoluons plus vite que l'autre…

    Lâcher prise sur son quant à soi et sur l'image faussée que l'on a de soi-même aide en effet a respecter sa vibration car ce que nous faisons c'est ce que nous avons à faire point c'est tout. Nous sortons ainsi de tous jugements spirituellement moraux qui nous ont emprisonné(es) dans une matrice mensongère à propos de qui nous sommes en réalité l'un et l'autre…

    L'important est d'en finir avec les jugements sur soi quand pour se faire respecter nous devons grimper aux rideaux pour exprimer haut et fort en quoi on ne se sent pas respectée… L'autre y gagne seulement parce qu'il "croyait nous respecter" tout en ne se voyant pas cristallisé dans ses vieux schémas infantiles ou des relations duelles dominé/dominant.

    Ce temps-là est fini… chacun reprend les rênes de sa vie dans une cohabitation intelligente et respectueuse de l'espace et du territoire de l'autre.

  • #42

    josée (mercredi, 09 octobre 2019 17:12)

    émue par ton texte et incapable de m'en secouer, je tiens néanmoins à célébrer l'éclosion de paix que j'y ressens en écho à ma saison. on n'est plus assez dupe pour s'attendre à des vacances de même qu'un congé est mérité après un accomplissement parce qu'il n'est question ici encore et toujours que de programmation et que celle, en passant d'une fréquence à une autre, n'épargnera jamais l'ego de défis plus subtils encore. on n'est pas sorti du bois mais il y a lieu de souligner de quoi on est en train de sortir. on vit la fin du doute de type sournois, asphyxiant, parce que toujours en arrière-plan qui nous faisait douter de notre capacité de gestion de notre couple et par extension de la survie de notre couple. non que nous sachions maintenant lire l'avenir, mais nous savons maintenant que nous sommes capables de vivre notre avenir.

  • #43

    Edwige (mardi, 15 octobre 2019 11:01)

    Notre programmation a été établie en fonction de ce que notre ego est capable d'encaisser, d'aussi subtil ou catastrophique.

    Etre apte à lire le mode d'emploi de notre vie, bien planqué dans l'invisible, facilite le "mieux vivre" cette vie qui, dans l'espace d'une nanoseconde présente construit l'avenir de l'espace de la nanoseconde suivante.

    De fait les causes à effets se résolvent immédiatement, non pas dans l'accumulation de mémoires karmiques.

  • #44

    josee (jeudi, 17 octobre 2019 03:53)

    à force de se faire réconcilier avec notre vie par de la télépathie, on finit par sauter à pieds joints dans le pari d'être d'accord avec tous les segments de notre vie, c.a.d. à pieds joints sur ce bon vieux convoyeur de la programmation où de toute façon on est contraint à demeurer mais en relevant de plus en plus le pari de retourner en télépathie à chaque accrochage des pieds de notre ego... car toujours on s'accroche les pieds sur cet interminable convoyeur de la programmation où on a vite fait d'oublier notre pari et de recommencer à se traîner les pieds dans notre harassement à s'efforcer à ne pas le faire... spiritualité ! un jour on sera indifférent à tous ces calculs. rien n'a d'importance que le coeur de la conscience. toutes les couches psychiques sont à être évacuées, aussi intelligentes et utiles qu'elles nous paraissent aujourd'hui.

  • #45

    Edwige (vendredi, 18 octobre 2019 12:52)

    Toutes les couches mémorielles des cerveaux reptiliens et émotionnel sont à nettoyer, aussi intelligentes et utiles qu'elles ont pu l'être jusqu' à ce jour.

  • #46

    josee (vendredi, 25 octobre 2019 20:18)

    ...et utiles elles semblent être encore, si on pense juste au confort de l'attachement à un être cher !

  • #47

    Edwige (lundi, 04 novembre 2019 13:38)

    En voilà une "pensée" astrale...

    Pensée pour êtres disparus, redevenus des âmes en attente de nouvelles expériences dans un plan où nous ne voulons plus retourner…

    Rien que la "pensée" d'un supposé confort et attachement à un être cher, de mon point de vue ça cristallise dans notre mémoire tout ce que nous nous acharnons à transmuter en énergie d'expériences avec ces âmes, jadis chères ou pas chères à nos cœurs…